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Pierre-Yves Gigou – Triathlète

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Archive For août, 2014

Ironman Mont-Tremblant : 9h08, 7e overall et 1er amateur

août 18, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Si on m’avait dit que je ferai ce temps là dans les mois qui ont précédé la course, j’aurais signé des 2 mains! J’étais loin d’imaginer faire ce temps et encore moins de finir 1er chez les amateurs. Quand je compare mes statistiques d’entraînement aux statistiques démoniaques de mon « pote » Jérôme (non pas qu’il s’entraîne plus, mais disons qu’il s’entraîne très très vite!), il y a de quoi « se pisser dessus » tellement ça fait peur. Idem si je compare certains de mes entraînements « clés » de 2014 à leur équivalent 2013… Et puis c’est sans parler de ma chute de vélo il y a 10 jours, ni du gros rhume qui m’a fait ch*%#&! toute la semaine…

Mais c’est ça la beauté du coaching. D’une année à l’autre, même si le calendrier est le même, les sensations sont toujours différentes. La ligne à suivre pour sortir LA grosse course le jour J est très subtile. Encore une fois, la leçon que je retiendrai aujourd’hui, c’est que le plus important est d’écouter son corps et d’ajuster les séances d’entraînement en fonctions de ressentis. C’est ce que j’ai fait, et voilà ce que ça a donné!

Fini le blabla… voici mon récit de course :

La journée a commencé difficilement en natation :  Ayant de bonnes sensations au départ, et après avoir reçu quelques coups au visages, je me dis que je peux bien me payer le luxe de nager à l’extrême droite du pack et de me replacer lorsque tout le monde se sera calmé. Erreur! Je devrais faire un 1000m chrono tout seul pour boucher les 15m de retard que j’ai pris sur le pack. Mauvaise stratégie mon PY, encore une fois tu va le payer sur le retour (chez moi c’est une habitude de « sauter » au retour à Tremblant). Une fois au chaud dans les pieds, la bouée de demi-tour est à moins de 100m, je fais donc l’effort de doubler pour me replacer en tête de pack car je sais que ça va accélérer dans pas long… et effectivement, au passage de la bouée, tout le monde se met à nager comme des brutes et je dois une nouvelle fois aérer les dents pour rester au contact. Mais 200m plus loin à peine, 2e changement de direction, 2e accélération… je fais mon possible pour rester, mais l’élastique était trop tendu et se qui devait arriver arriva : je casse! Mode détresse enclenché, j’essaie de me rattacher à tous les pieds qui me doublent mais en fin. Ça prendra au moins 400m pour que je retrouve un semblant de technique qui me permettra d’attraper le « gruppetto » qui me traînera au bercail en limitant la casse. 1h01… pas si pire étant donné les efforts faits dans la discipline ces derniers mois.

 

Une belle brochette d'athlète Merrell-Garneau au départ (de gauche à droite David Lacombe, Nicolas Courville, moi, et Jérôme Bresson, il manque Juliane Lacroix)

Une belle brochette d’athlète Merrell-Garneau au départ (de gauche à droite David Lacombe, Nicolas Courville, moi, et Jérôme Bresson, il manque Juliane Lacroix)

Bon, me voilà sur la terre ferme, je suis dans mon élément. En plus, une super machine de guerre trépigne d’impatience dans la zone de transition! Et puis moi, je crève d’envie d’essayer mes nouvelles roues Corima. On m’annonce que Jérôme et Chuck ont déjà 3 minutes d’avance sur moi…et encore heureux que Chuck soit parti avec 6 minutes de retard sur moi. « Là là », je commence à me « crinquer »… on va bien voir si j’arrive à les rattraper. Et je décide d’attaquer le premier tour de manière très agressive! Il y a du vent et il fait froid, les conditions sont lentes, cela m’empêchera pas de passer le premier tour en 2h22, ce malgré tout ne permettra pas de les rejoindre. Bon ok, j’essaie encore une trentaine de km puis je lâche l’affaire si je rentre pas. Y a quand même un marathon à courir après! Vroom vroom rugissent mes Corima dans le vent de face! La cadence est bonne, je sens que l’effort est bon.

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À l’attaque! (photo JC Lagacé)

En l’absence de mon cardio-fréquencemètre V800 (contusion à une côte suite à ma chute) et de capteur de puissance, je me fierai entièrement aux sensations durant la section vélo. « Listen your body » dirait POLAR. À la fin de la section de 30km, je parviens justement à rejoindre Charles, et je constate que je ne suis plus très loin de Jérôme. Ok let’s go, je me dis. Je rattrape mon « chum » puis je me calme. Finalement lorsque je parviens à revenir sur Jérôme, ce dernier est victime d’un « coup de bambou » (oui oui David!) et je décide donc de poursuivre mon chemin (un peu plus relax quand même) pour compléter le vélo en 4h47.

Un bel accueil à l’arrivée

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En course à pied, dès le début j’ai de bonnes sensations et pas mal d’avance sur mes poursuivants. Je jouerai néanmoins la carte de la prudence pour ne pas risquer de « sauter » sur la fin du parcours et être certain d’empocher la qualif. Je passe le premier tour en 1h33, pour un temps final de 3h13.  Et mis à part quelques petites crampes abdominales dans le premier tour (d’où mon absence de sourire à ceux qui m’ont encouragé dans le 1er tour), le marathon s’est déroulé tout en contrôle, sans jamais me mettre dans le rouge.

Pour cette performance, je tiens à remercier :

  • Valérie, ma conjointe, qui m’a encouragé tout au long de la course
  • Mes co-équipiers de l‘Équipe Merrell-Garneau. Sérieux gang, vous être extra-ordinaires!
  • Mes partenaires Merrell, Louis Garneau, Corima Usa, Polar, Tyr, Immunotec, Vélo Espace
  • La famille et les amis qui sont toujours là pour m’encourager
  •  Les bénévoles sans qui cette course ne pourrait avoir lieu
  • Tous les supporters qui m’ont encouragé tout au long de la journée

Un bel accueil à l'arrivée

Ironman Mont-Tremblant 2014 : mes objectifs!

août 17, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Après avoir réalisé 9h06 en 2012, un des objectifs 2013 était de descendre sous les 9h. Cette année, les sensations à l’entraînement étant moins bonnes, je me suis fixé un objectif plus humble, soit de descendre sous les 9h20. C’est un objectif réalisable, qui ne me poussera pas à prendre de risques et qui néanmoins devrait me permettre de me qualifier pour Kona (3 places dans ma catégorie d’âge). Cet objectif raisonnable devrait me permettre de ne pas y laisser trop de plumes afin d’être compétitif dans 3 semaines au championnat du monde 70.3. 

Pour cela je devrais réaliser environ 1h00 en natation, 4h50 en vélo et 3h20 en course à pied. 

Néanmoins, il s’agit d’une course, alors si je m’aperçois que la victoire dans ma catégorie d’âge est accessible, je travaillerai fort pour essayer de l’obtenir tel qu’en 2012 et 2013. 

 

Vroom vroom!

Vroom vroom!

Tune-Up #4 : Les massages

août 16, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Lorsque je m’étais fait un « syndrome fémoro-patellaire » en septembre dernier, les massages profonds et les étirements avaient été les seuls traitements efficaces. Suite à cette blessure, j’ai pris conscience qu’en tous temps j’avais les muscles extrêmements « tight » (tendus) et que cela nuisait à la fluidité de mes mouvements, voire même pouvait être la cause de blessures telles que le syndrôme fémoro-patellaire. Cet hiver, j’ai donc décidé de me faire masser régulièrement pour essayer de relâcher mes muscles et prévenir ce type de blessure.

Pour cela, j’ai fait appel aux services de mon ami Alex Ricard, qui a exercé plusieurs années comme massothérapeuthe à Montréal pour ensuite faire un retour aux études à l’université Laval. En plus de masser de nombreux coureurs à pied de haut-niveau à Québec, Alex connaît très bien les exigences de l’entraînement en triathlon dans la mesure où lui-même a été par le passé un des meilleurs triathlètes de la province.  D’ailleurs, au regard de ces récentes performances à pied et en cyclisme, c’est sans nul doute un des athlètes qui ont le meilleur potentiel en triathlon longue distance au Québec (il avait d’ailleurs fait un podium au championnat du monde 70.3 il y quelques années). Bref, en matière de massage sportif, Alex connaît son affaire!

Par contre, il a la réputation de ne « pas faire dans la dentelle ». Effectivement, ces séances de massage ressemblent davantage à des séances de torture, d’où je ressors avec de la misère à marcher. Mais les jours suivants, quel bonheur! C’est comme si j’avais mis de l’huile sur une vieille chaîne toute rouillée. En vélo, le pédalage se fait en aisance et la position aéro est plus facile à tenir, en course à pied, les mouvements sont plus amples. C’est plein de petits points de tension musculaire dont je n’avais pas toujours pris conscience qui ont disparu. Merci Alex!

Encore une fois, voici un service que je regrette de ne pas avoir découvert plus tôt, cela m’aurait peut-être évité certaines blessures.

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Tune-Up #3 : Mon opération des yeux

août 16, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Myope depuis mon enfance, j’utilisais au quotidien des verres de contact afin de pratiquer mes activités sportives en toute aisance. Oui, je sais, il ne faut pas nager avec des verres de contact. Et oui je sais, il n’est pas recommandé de porter des verres de contact 17h par jour.

Sauf que voilà, au cours de la dernière année, j’ai fait plusieurs kératites (lésions du kératome), dont une dernière fin mai qui m’a contraint à me rendre à l’urgence. Le verdict de l’ophtalmologiste était clair : interdiction de porter des verres de contacts pour les deux prochaines semaines et par la suite, les utiliser de façon occasionnelle. Oh boy! S’entraîner 2 semaines sans verres de contact… la situation n’était pas durable et j’ai alors décidé de me faire opérer pour corriger ma vue.

J’ai donc pris rendez-vous à la clinique FocusVision à Montréal. Auparavant je n’avais jamais envisagé l’option car je pensais que c’était assez lourd comme chirurgie. J’avais peur des complications et je pensais que cela prenait plusieurs semaines à récupérer. L’équipe du Dr Podtetenev était vraiment accueillante et après une explication détaillée des différentes étapes de la chirurgie et des risques encourus, toutes mes craintes s’étaient dissipées.

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L’opération a duré à peine quelques minutes et n’a causé aucune douleur et le chirurgien m’a parlé tout au long de l’opération, ce qui était particulièrement rassurant. Durant les heures qui ont suivi, ma vue était un peu embrouillée. J’ai commencé à ressentir de la douleur 2-3 heures après l’opération, mais je me suis rapidement endormi et, à mon réveil, je voyais mieux que jamais. J’ai pu faire le trajet de retour à Québec sans encombre. Le surlendemain, je coachais toute la journée à Drummondville, une semaine après j’ai pu reprendre la natation et 9 jours après je faisais le demi-ironman de Mont-Tremblant.

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Dans les semaines qui ont suivi, je n’avais de cesse de m’émerveiller devant de petits détails du quotidien : voir clair à mon réveil, être capable de lire une pancarte éloignée, ne pas emporter dans ma trousse de toilette lunettes et verres de contacts, ne pas avoir les yeux secs en fin de journée….

Il y a de nombreux avantages à se faire opérer pour pratiquer le triathlon :

  • Pas de risques d’infections à nager avec des verres de contact.
  • C’est un stress de moins de ne pas avoir peur de perdre un verre de contact pendant l’épreuve.
  • Fini les yeux secs en vélo.
  • Fini la bouette ou sueur qui tombe sous les verres de contact
  • Meilleure vision de loin en eau libre.
  • Meilleure vision des obstacles en vélo de montagne et en course en trail.

Bref, cette chirurgie a été un excellent investissement et si j’avais su, je me serais fait opéré depuis longtemps.

À suivre : Tune-Up #4 : Les massages

Tune-Up #2 : Le Positionnement

août 13, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Du bon matos, c’est beau, c’est cool, mais l’important et d’être capable d’y poser un moteur. C’est là qu’intervient Pierre Perron. Après une formation de plusieurs jours à Toronto avec les intructeurs de Retül, j’ai eu la chance d’être son premier « cobaye ».

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Pierre Perron en pleine concentration!

 

Après un premier « fit » sur mon vélo de route dont les résultats ont dépassé toutes mes attentes, j’avais vraiment hâte d’y retourner pour le positionnement sur mon TR1.

La technologie Retül fonctionne grâce à des marqueurs infra-rouge posés sur des points anatomiques précis permettant ainsi de « visualiser » par informatique le déplacement des différents segments. Le système Retül permet ainsi de mesurer en continu au cours du cycle de pédalage les différents angles entre chaque segment (matérialisant hanche, cheville, genou). L’objectif étant qu’en tous temps tous angles soient compris dans une certaine plage d’efficacité prédéfini par l’ordinateur. Évidement, il s’agit d’un travail de longue haleine puisque chaque déplacement de la selle (hauteur, avancement) a de l’influence sur l’ensemble des angles. Un capteur de puissance permet de contrôler l’intensité, et de s’assurer que le positionnement est correct quelle que soit l’intensité de l’effort.

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Placement des marqueurs infra-rouge sur les repères anatomiques

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Le set up

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Le nouveau cadre TR1 permet une grande plage de réglage

Comme je ne suis vraiment pas souple par nature, Pierre décide entre autre de remonter un peu ma potence, et m’explique que cela va sacrifier un peu à l’aérodynamisme pour un gain de puissance. Et effectivement, je me sens merveilleusement bien sur ma selle. Un peu sceptique quant à la performance finale en situation de compétition, il me faudra seulement attendre la fin de la semaine pour claquer un 4h11 (3e temps vélo de la journée) sur le parcours du 70.3 de Mont-Tremblant et ainsi avoir ma réponse : positionnement réussi! Merci Pierre!

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Le placement des bras a un impact important sur l’aérodynamisme, ainsi que sur le « coup de pédale ». Tout est alors une question de compromis pour trouver la position la plus rapide.

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Le produit final

 

Tune-Up #1: le matériel de vélo

août 13, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Certains disent que je vieillis, toujours est-il que cette année, le corps ne répondait pas aussi bien aux sollicitations de l’entraînement qu’auparavant : blessures, fatigue, infections…

Bref, en cette veille d’ironman Mont-Tremblant, plutôt que de vous sortir des stats d’entraînement très ordinaires, ou encore de vous expliquer la logique inexistante d’un entraînement planifié au jour le jour en fonction des ressentis, je vais vous parler des petits détails que j’ai paufiné afin de grapiller quelques secondes au chrono et me permettre d’espérer obtenir des résultats proches de ceux de ces dernières années (9h06 en 2012, 9h11 en 2013).

Évidemment, le matériel jouant un rôle prépondérant sur la performance en cyclisme, c’est par ce point que je commence.

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Le cadre : Après 4 ans de bourlingage à travers les continents, le Gennix T1 (Louis Garneau) commençait à se faire vieillissant et à pénaliser ma performance par rapport à d’autres vélos à la fine pointe de la technologie. C’est donc avec enthousiasme que j’ai accueilli l’arrivée du Gennix TR1, un vélo dessiné pour être aussi, sinon plus aérodynamique que des vélos tel que le P5, du moins gagnant sur la légèreté et la rigidité par rapport au T1. Ayant eu la chance de le tester à Kona l’an passé, je l’ai tout de suite adopté. Et je ne m’étais pas trompé puisqu’il m’a permis de battre mon record sur 180km (4h42).

Les roues : M’étant séparé de ma roue pleine Zipp Sub9 que je ne trouvais pas assez rigide à mon goût, je roulerai à Tremblant sur une paire de Corima. L’ensemble Paraculaire à l’arrière (985g) + UP’S  à l’avant (560g) me permet avant tout de gagner en légèreté. Le gain de poids se fait ressentir dans les côtes, mais aussi dans les relances car l’inertie de ses roues est étonnement faible! La rigidité de ses roues est également exemplaire. Apparemment, elles ont bien réussi à Nibali sur le Tour ; ) et en plus, elles sont conçues en France. Et le plus incroyable dans tout ça, c’est que je n’ai jamais eu une qualité de freinage aussi bonne sur une roue en carbone qu’avec les patins de freins Corima (bon ok, en triathlon, on freine pas). Bref, à peine essayées et déjà adoptées.

Le dérailleur : Assez réticent au début, j’avoue que le passage à l’électronique sur un vélo de contre-la-montre est un avantage certain sur un parcours aussi « casse-pâte » que Mont-tremblant. Dans les côtes du Chemin Duplessis, pouvoir changer de développement tout en étant debout sur les pédales est un luxe particulièrement appréciable. En « cassant » moins de fibre sur des gros braquets, c’est non seulement un gain de temps certain à vélo, mais aussi un gain de temps en course à pied.

Le pédalier : Premièrement, pour un meilleur passage des points morts en position aéro, mon pédalier est muni de manivelles de 170mm. Le deuxième changement consiste dans l’utilisation d’un 52×36 au lieu du traditionnel 53×39. Pour une vitesse moyenne de 37km/h sur Ironman, sur le plat cela me permet d’utiliser des pignons situés au milieu de la cassette (13-14-15) et donc de ne pas croiser ma chaîne. Dans les descentes le 52×11 est largement suffisant, puisqu’au delà d’une certaine vitesse une position aérodynamique est beaucoup plus rapide. Et dans les côtes, pas besoin de sortir de sa zone de confort ou d’être tenté de pousser de trop gros développements : le 36 permet de grimper aux arbres!

Pour les curieux, des boyaux Continental TT Podium II, des pédales Look Blade II, un guidon 3T avec accoudoir zipp et une potence giant carbon complètent le tout.

À suivre dans le Tune Up #2 : Le positionnement

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