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Pierre-Yves Gigou – Triathlète

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Archive For août, 2015

Abandon ou La dure Loi du sport

août 16, 2015 · by Pierre-Yves Gigou

Un an de préparation pour ÇA!

Après avoir pleuré à chaudes larmes suite à cet échec, j’en suis maintenant rendu à essayer de comprendre. Comprendre comment j’ai pu rater mon coup à ce point-là.

Toute l’année j’ai travaillé très fort, j’ai été rigoureux tant au niveau de l’entraînement que de la récupération, j’ai fait preuve d’abnégation et de détermination. Cette course était tellement importante pour moi. Pour plusieurs raisons sur lesquelles je reviendrai ultérieurement, c’était LA compétition qui devait être le point culminant de ma carrière d’athlète, où je devais exprimer un niveau de performance que je ne retrouverais sans doute jamais.

J’aurais mérité un dénouement  plus heureux.
Mais que voulez-vous, lorsque les jambes ne veulent plus, lorsque la vitesse et la puissance diminuent inexorablement, on a beau aller chercher dans ses dernières ressources mentales pour mettre une dent en moins ou relancer la fréquence de pédalage, c’est en vain, la fatigue finit toujours par te rattraper.

La journée avait très mal commencé en natation. Après 300-400m, j’ai senti mes bras devenir très lourds. Je me suis acharné pour rester au contact du groupe « 56 minutes » mais c’était de pire en pire. Je descendais de groupe en groupe. Lorsque tous les hommes furent passés, ça a été au tour de filles, puis des groupes d’âge de me doubler. J’ai alors réalisé que mes mains commençaient à s’engourdir. C’est à ce moment là que j’ai compris que sous mon wetsuit, les manches de mon maillot faisaient un garrot au niveau de mon biceps, bloquant la circulation sanguine. Compte tenu de la température annoncée (chaud) j’avais décidé au dernier moment de mettre ma tenue 2 pièces.  Quelle erreur de ne pas l’avoir testée au préalable! Je sortirai de l’eau en 1h00min45″, très loin de mes objectifs et de mon niveau actuel.

Sur le vélo, les jambes n’étaient pas top, mais après 40km, j’ai commencé à me mettre dans le rythme et à revenir sur quelques pros, chassant un groupe de 6 situés à 3min et sur lequel je revenais progressivement. J’ai bouclé mon 1er tour en 1h20, dans le temps de passage prévu initialement. Avec la chaleur, je me doutais que le 2ème tour serait plus rapide que le premier et je m’alignai donc avec confiance sur un temps de 4h40 en vélo. J’avais espoir de recoller sur la 117 pour pouvoir me placer dans le train et commencer à penser à la course à pied.

Mais ma tête et mon corps en ont décidé autrement : dans les 10 km qui ont suivi le demi tour ma puissance a commencé à baisser, autant sur le plat que dans les côtes. Je n’étais pas spécialement fatigué musculairement et mes réserves énergétiques étaient encore très bonnes. Je n’avais pas non plus de douleurs. Ça ne voulait juste plus. Un autre 10km m’a confirmé que j’étais complètement cuit. J’avais peine et misère à pousser 215w. Les 15km pour revenir à la zone de transition m’ont paru interminables et, arrivé au début du chemin Duplessis, j’ai mis le flasher à gauche direction l’hôtel. Je n’avais clairement pas l’énergie pour courir un marathon correctement. J’étais là pour faire une place, pas pour « finir » un Ironman.

Je suis donc là, dans une chambre d’hôtel à essayer de comprendre : pourquoi? Après 10 ironman, dont certains avec à peine quelques jours de taper, et d’autres avec un état de fatigue physique et mentale important (préparation physique + coaching) je n’ai jamais connu une telle défaillance après seulement 5 heures de course.

Ma préparation était certes ambitieuse (camp d’entraînement + triathlon de l’Alpe d’Huez), mais mon résultat à l’Alpe (8e) montre qu’avec seulement 3 jours de récup j’avais très bien assimilé le camp d’entraînement. Et les résultats de Mary-Beth Ellis (victoire à Mont-Tremblant aujourd’hui), de Ema Pooley (victoire à l’Embrunman hier), de James Cunama (2e à Embrun) et de quelques autres athlètes ayant participé à l’Alpe d’Huez sont la preuve que la formule fonctionne!

Je pense que le problème a été la vilaine gastroentérite  qui ma cloué au lit pendant 6 jours sans pouvoir rien manger la semaine passée, à mon retour de France. Immédiatement après ma performance à l’Alpe. Autant dire que mon système à été particulièrement éprouvé durant cet épisode de gastro durant lequel j’ai perdu environ 7kg. J’étais complètement vidé.  Depuis lundi j’ai beaucoup mangé afin de reprendre des forces (parfois je me levais 2 fois par nuit!), et j’étais confiant d’arriver sur la ligne de départ avec 100% de mes moyens même si les sensations à l’entraînement étaient assez mitigées. Il faut croire que cette gastro aura laissé plus de traces que je ne le pensais.

Même si cette échec est difficile à avaler, il y a des choses pires que ça dans la vie. Et puis les très belles performances de mes coéquipiers Caroline St-Pierre (10e, 9h55) et Jérôme Bresson (9h09), me mettent un peu de baume au coeur. Je crois même que je vais aller encourager les derniers finishers sur la ligne d’arrivée.

Ironman Mont-Tremblant : ça passe ou ça casse!

août 15, 2015 · by Pierre-Yves Gigou

Dimanche matin, à 6h36, je prendrai le départ de l’Ironman Mont-Tremblant. Ce sera ma 4e participation en 4 éditions à cette  compétition. Contrairement aux précédentes éditions où l’objectif était simplement d’obtenir ma qualification pour Kona, cette année mes objectifs sont radicalement différents : je suis à Tremblant pour faire une place!

Cela fait maintenant presque une année que je « fais le métier » comme un athlète professionnel. Pour cela, j’ai diminué mon implication en tant qu’entraîneur (je ne suis plus entraîneur au Rouge et Or triathlon) et je coache seulement quelques athlètes à distance. Ces dispositions me permettent de gérer mon emploi du temps comme je le souhaite, et ce à n’importe quel endroit de la planète où une connexion wifi est possible. Ma priorité quotidienne consistait donc à nager, rouler, courir et surtout à dormir, manger, m’étirer, me masser ou me faire masser. Alors qu’en 2014 je m’étais entraîné en moyenne 16h par semaine, depuis le mois de mars, je tourne  à plus de 20h d’entraînement par semaine, avec certaines semaines à plus de 40h. Bref, j’ai eu des conditions parfaites pour me préparer à performer.

Le revers de la médaille, ce sont les sacrifices financiers et le stress que cela représente. Comparés à un total de gains de course s’élevant à 400 euros cette année, les 100 000$ en bourse dimanche sont particulièrement attirants. Un top 5 me permettrait de rembourser les 1100$ investis dans ma licence professionnelle ainsi que de finir la saison honorablement. Au regard de la start-list et de mon niveau de forme actuel, le top 3 (mon objectif de début de saison) me semble impossible à atteindre et je préfère me raccrocher à un objectif réaliste.

Pour rentrer dans le top 5, il va falloir descendre sous les 9h et s’approcher de 8h50. L’objectif est donc de faire 1h en natation+t1, 4h45 en vélo+t2 et 3h en course à pied. En termes de stratégie, j’espère nager dans un petit groupe composé entre autres de Sanders et de Patrice Brisindi, puis je donnerai tout pour rester à vélo avec Sanders durant le premier tour, en espérant rapidement pouvoir rejoindre le groupe de tête. En course à pied, je compte passer le premier demi-marathon en 1h30, et j’essaierai d’accélérer au début du 2e tour. Mon principal adversaire sera alors la chaleur exceptionnelle annoncée demain (température ressentie de 37°C). Je m’attends à ce que les 10 derniers kilomètres soient très durs, mais si j’explose, je n’aurai pas de regrets à avoir car j’aurai tenté le tout pour le tout.

Vous pourrez suivre ma performance sur Ironman Live grâce au capteur GPS dont tous les PROs seront munis.

Lien vers mon entrevue à Salut Bonjour (TVA)

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Crédit photo : André Bélanger. Matériel vélo : Cadre LG Tr1, pédalier Rotor Flow - Qring 54-42, roues Corima, pédaler Look/Polar Power, boyaux Continental Podium TT, groupe Ultégra Di2, guidon Pro Missile, Selle Adamo.

Crédit photo : André Bélanger. Matériel vélo : Cadre LG Tr1, pédalier Rotor Flow – Qring 54-42, roues Corima, pédaler Look/Polar Power, boyaux Continental Podium TT, groupe Ultégra Di2, guidon Pro Missile, Selle Adamo.

Veille de course avec Jacques Galarneau (speaker) et Christian Triquet (Merrell Canada)

Crédit photo : Robert Mahaits. Veille de course avec Jacques Galarneau (speaker) et Christian Triquet (Merrell Canada)

 

 

Triathlon de l’Alpe d’Huez

août 8, 2015 · by Pierre-Yves Gigou

Après avoir achevé la première partie de mon programme de compétition (Challenge Quassy–70.3 Mont-Tremblant– Challenge St-Andrews) sur une fausse note, une rapide analyse m’a appris que j’avais besoin de repos.  Alors que je cherchais à optimiser chaque petit détail de ma préparation, ma quête de performance au cours des derniers mois avait viré à l’obsession!  Et ce stress physique et psychologique permanent avait fini par nuire à mon entraînement.

Mon voyage en France était donc l’occasion parfaite de décrocher et d’oublier la déprime post St-Andrews! Le plan était de passer une première semaine chez mes parents à l’occasion du mariage de ma cousine puis de passer 2 semaines dans les Alpes.

Ma première semaine d’entraînement dans le Loir-et-Cher (41) fut laborieuse dans tout les sens du terme, avec même parfois de gros passages à vide lors de certains entraînements. Mais j’ai gardé mon calme et j’ai persévéré pour finalement retrouver de meilleures sensations à mon arrivée dans les Alpes. Le plan était alors de m’entraîner le plus possible la première semaine, puis de me reposer la 2e semaine avant de participer bon an mal an avec les jambes du jour au triathlon de l’Alpe d’Huez, pour ensuite « peacker » le 16 août lors de l’Ironman de Mont-Tremblant où l’objectif est toujours de faire un podium.

Au fil des jours (et des cols), j’ai vite retrouvé un niveau de forme très intéressant et réalisé un important volume (41h) dont une grande part à une intensité proche ou supérieure à mon intensité sur ironman. J’ai également eu l’agréable surprise de retrouver très rapidement mon « coup de pédale » en montagne grâce à mes plateaux Rotor Qring (oval). En fait, ces plateaux permettent de très bien passer les points morts , me permettant dès les premiers jours en montagne d’adopter une bonne fréquence de pédalage et m’évitant quelques courbatures spécifiques à ce type de terrain.

Un paysage à "couper le souffle" (l'altitude aussi)

Un paysage à « couper le souffle » (l’altitude aussi)

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Le triathlon longue distance de l’Alpe d’Huez n’étant pas un objectif prioritaire, je ne me suis accordé que 3 jours de repos avant cette épreuve que j’avais déjà complétée en 7h22 en 2008. Sur ce parcours extrêmement exigeant, je n’avais aucune idée de la façon dont allait réagir mon corps à l’accumulation de fatigue, et je m’étais donc préparé à vivre une journée de galère. De toute façon, je me doutais que sur la quarantaine d’athlète élite engagés, une bonne moitié serait dans le même cas de figure.

Un parcours "exigeant"

Un parcours « exigeant »

 

Natation : 2500m (2 tours)- environ 33′

Le départ de natation se faisait dans le lac du Verney, au pied de la station de Vaujany. Tel que prévu, le départ de masse est chaotique et la première bouée est l’occasion d’une bonne bousculade. J’arriverai à sortir indemne en passant à l’intérieur. Je décide d’employer la même stratégie pour la 2e bouée : et ça passe! Un rapide coup d’oeil me montre que ma stratégie était la bonne et que j’ai ainsi gagné un temps précieux sans avoir à forcer l’allure. Je m’installe confortablement dans les pieds d’un élite et je ne quitterai pas ce groupe jusqu’à la toute fin du 2e tour.

Départ de masse

Départ de masse! Crédit photo : Thierry Sourbier

Cyclisme : 117km – 3h59 – STRAVA

Je n’ai alors aucune idée de ma position même si j’ai l’impression qu’il ne reste plus beaucoup de vélos dans ma rangée. Par précaution car le temps est incertain, je prends quand même le temps de mettre mes manchettes et de glisser une feuille de « couverture de survie » dans mon tri-suit et je m’élance dans le long faux-plat descendant jusqu’à Séchilienne. Même si elle ne me permet pas de générer autant de puissance que sur mon vélo de TT, ma position sur les aérobarres est extrêmement rapide (et aéro). Ça roule entre 45 et 55km/h!  Comme en France la distance légale pour le drafting est de 7m, je comprends vite qu’il est inutile de faire des efforts à ce moment de la course et je me résigne à rester dans un train jusqu’à la première difficulté du jour : l’Alpe du Grand-Serre (15km à 6,5%). Dès le pied de l’ascension, je décide d’attaquer pour faire le ménage et un 20min à 360w me permet de me retrouver en 6e position de la course. C’est à ce moment là que mes bronches décident de me lâcher et que je commence à faire l’asthme à l’effort. L’altitude n’aidant pas, je me vois contraint de baisser l’allure et je vois un train d’une douzaine de cycliste me dépasser. Ne voulant pas risquer de pénalité, je rétrograde pour me placer en queue de wagon et puis je relance pour basculer avec le groupe. Malheureusement, quelques wagons ayant sauté, cela ne suffira pas et je me retrouverai tout seul pour faire la descente. Ce n’est qu’après un gros effort dans la côte de la Morte que je reviendrai au contact avec le groupe et ré-intégrerai le top 10.

Facile!

Facile! Équipement vélo : cadre Louis Garneau Gennix R1 Dream Factory, groupe Dura-ace mécanique 11v (11-28), pédalier Rotor Flow compact (52-36), guidon Easton Ec70 et aérobars Hed carbon modifiées, roues Corima 72mm (1400g), boyaux Continental Podium TT 22mm à l’avant et Compétition 23mm à l’arrière,  pédales Kéo Power, selle Spécialized Romin.

Un peu avant le début de col d’Ornon, un rapide coup d’oeil m’apprend que mes adversaires sont « collés » et c’est tout naturellement que je me détache du groupe avec 2 autres concurrents au pied du col d’Ornon. Je suis un peu trop pesant pour grimper très vite lorsque la pente dépasse 6%, mais dans du 3-4% je me régale. Même si les jambes sont bonnes je préfère laisser filer mes 2 compères dans les dernières rampes du col d’Ornon afin de me préserver pour la montée finale vers  l’Alpe d’Huez. Je concède alors une bonne minute que je suis assez confiant de pouvoir reprendre lors de la descente. Et effectivement, après une descente à fond de train je les rattraperai dans le tout dernier lacet de la descente sur Bourg d’Oisons, au pied du col de l’Alpe d’Huez. Je me sens bien dès les premiers virages, mais par chance mon capteur de puissance me rappelle à l’ordre car il y en a quand même 21 à aligner…. Après quelques minutes, j’assiste d’ailleurs à une grosse défaillance d’un de mes adversaires, quasiment à l’arrêt (et je dois avouer que moi non plus je ne vais plus très vite). Par prudence, je laisse donc filer l’autre concurrent et je me retrouve complètement seul avec mon compteur de vélo : il reste au moins 45 minutes d’ascension!!! Je suis alors 7e. Et comme dans les 2 précédents col, à partir de 1400m d’altitude, je commence à faiblir. Les derniers km me semblent une éternité et je m’accroche au fait que les watts ne sont somme toute pas si mal. Finalement, c’est seulement arrivé au parc à vélo que je réalise qu’il faut encore courir…

Virage N°2!

Virage N°2! Crédit photo : Thierry Sourbier

Course à pied : 22km (1900m d’altitude) : env. 1h30 – STRAVA

En descendant du vélo, j’ai comme le feeling que ça va être dur… et finalement, même si les  jambes courent un peu carré, elles ne sont pas en si mauvais état. En revanche, dans les premiers 3km de faux-plat montant vers le col de Sarenne, la pompe s’affole : je cours à 4’30 du km et pourtant j’ai l’impression d’être à Vo2Max! Le demi-tour aura au moins le mérite de m’informer que mes adversaires sont dans le même état que moi et que je n’ai que 5 minutes de retard sur la tête de course. Dans la descente, je suis incapable de prendre de la vitesse et je me fais dépasser par l’américain DePhillipis (qui finira en 3e position). Je n’exagère pas en disant que le gars court 2x plus vite que moi! Après 7km, j’ai toujours le souffle court et je me vois mal faire 3 tours comme cela. Quelques crampes et l’arrivée de quelques concurrents revenant de l’arrière ont le mérite de me sortir de ma torpeur : je ne me suis pas tapé 3 cols à vélo pour exploser en course à pied! Étonnamment, à l’entame du dernier tour, je contrôle beaucoup mieux ma respiration et je suis en mesure de relancer l’allure. Je rattrape 1, puis 2 concurrents que je distance facilement. De peur que les crampes reviennent, et parce que je n’aperçois pas de concurrents en avant, je me contreins à mettre le frein. Et voilà que la ligne d’arrivée arrive déjà! Ben zut alors, je me sentais bien pour faire un 4e tour! À n’y rien comprendre!

Avec un temps de 6h06 je m’empare d’une belle 8e place et de la bourse qui va avec (enfin!). Compte tenu du contexte d’entraînement, le temps et la place me satisfont entièrement! Il ne reste plus qu’à surcompenser pour l’Ironman de Mont-Tremblant.

 

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De son côté, Valérie a « cassé la baraque » sur le vélo avec un temps de 4h30! Ce qui lui permet de prendre également la 8e position chez les femmes. Je suis très impressionné par cette performance, d’autant plus qu’elle s’était entraînée plus d’une trentaine d’heures en ma compagnie la semaine précédente!

Le podium masculin

Le podium masculin

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Le podium féminin

 

 

 

 

 

 

 

 

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