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Pierre-Yves Gigou – Triathlète

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Browsing Category Blessure

Tune-Up #4 : Les massages

août 16, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Lorsque je m’étais fait un « syndrome fémoro-patellaire » en septembre dernier, les massages profonds et les étirements avaient été les seuls traitements efficaces. Suite à cette blessure, j’ai pris conscience qu’en tous temps j’avais les muscles extrêmements « tight » (tendus) et que cela nuisait à la fluidité de mes mouvements, voire même pouvait être la cause de blessures telles que le syndrôme fémoro-patellaire. Cet hiver, j’ai donc décidé de me faire masser régulièrement pour essayer de relâcher mes muscles et prévenir ce type de blessure.

Pour cela, j’ai fait appel aux services de mon ami Alex Ricard, qui a exercé plusieurs années comme massothérapeuthe à Montréal pour ensuite faire un retour aux études à l’université Laval. En plus de masser de nombreux coureurs à pied de haut-niveau à Québec, Alex connaît très bien les exigences de l’entraînement en triathlon dans la mesure où lui-même a été par le passé un des meilleurs triathlètes de la province.  D’ailleurs, au regard de ces récentes performances à pied et en cyclisme, c’est sans nul doute un des athlètes qui ont le meilleur potentiel en triathlon longue distance au Québec (il avait d’ailleurs fait un podium au championnat du monde 70.3 il y quelques années). Bref, en matière de massage sportif, Alex connaît son affaire!

Par contre, il a la réputation de ne « pas faire dans la dentelle ». Effectivement, ces séances de massage ressemblent davantage à des séances de torture, d’où je ressors avec de la misère à marcher. Mais les jours suivants, quel bonheur! C’est comme si j’avais mis de l’huile sur une vieille chaîne toute rouillée. En vélo, le pédalage se fait en aisance et la position aéro est plus facile à tenir, en course à pied, les mouvements sont plus amples. C’est plein de petits points de tension musculaire dont je n’avais pas toujours pris conscience qui ont disparu. Merci Alex!

Encore une fois, voici un service que je regrette de ne pas avoir découvert plus tôt, cela m’aurait peut-être évité certaines blessures.

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KO : déchirure du gastrocnemius

février 24, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Et voilà! Ce qui devait arriver arriva. À force d’ignorer tous les signaux d’alerte qui sont apparus ces derniers mois, à force d’ignorer cette fatigue profonde que je ressens depuis le mois d’août, j’aurais dû me douter que quelque chose allait finir par lâcher.

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C’est au 2/3 du 6km de course à pied du pentathlon des neiges (dont le récit de course suivra sous peu) que la douleur est apparue. Cela ressemblait beaucoup à une crampe. Vous savez, ce genre de crampe dans les mollets qu’ont les débutants lorsqu’ils enchaînent la course à pied après le vélo pour la première fois. Par conséquent, même si j’étais en « beau calvaire » face à cette situation inattendue, j’ai dans un premier temps maintenu l’allure en me disant que ça allait passer, puis devant l’absence de résultat, je me suis arrêté pour étirer le muscle en question. Peine perdu, la douleur n’a fait qu’augmenter et j’ai été contraint de rejoindre la zone de transition en clopinant d’une étrange manière.

Je me dis alors que la crampe va sûrement passer pendant les 9km de ski. Effectivement la douleur s’est estompée, et j’ai été capable d’ajuster ma technique pour éviter de mettre le mollet en tension. En patin ce fut encore mieux, et puis avec mon dos qui faisait des siennes et ma technique légendaire, j’avais suffisement d’autres problèmes à régler.

Là, j’ai commencé à penser que je pourrais faire les 6km de course en raquettes sans problème. Malheureusement, ce ne fut pas le cas car la douleur fut plus vive que jamais lors du 1er km, et j’ai bien failli abandonner à plusieurs reprises. Cela étant, j’avais quand même de bonnes jambes et en haut d’une côte particulièrement pénible à monter, la douleur a fini par s’estomper. J’ai même été en mesure d’accélérer et de sprinter pour m’emparer de la 5e place.

 

Quelques minutes d’arrêt pour discuter avec les amis à l’arrivée, et me voilà incapable de marcher. Je me traîne comme je peux jusqu’à la tente des physios. Rapidement, les physios de PCN prononcent le mot fatidique auquel je me refusais à penser durant toute la course : « déchirure ».

Du coup Valérie a pu exercer ces talents de photographe :  l’échographie confirmera l’étendue des dégâts.

Donc, depuis 2 jours,  je suis coincé à la maison où je me déplace en béquilles ou à cloche-pied. Et je ne pense pas pouvoir recommencer à conduire d’ici 3-4 jours. Selon Valérie, je devrais pouvoir reprendre la course à pied d’ici 6 semaines. Je pense que pour le vélo, ce sera un peu plus rapide.  Bref, on dirait bien qu’il va falloir faire une croix sur le tour du Mont-Valin, sur le triathlon d’hiver de Québec, ainsi que sur le premier triathlon de la saison : le 70.3 d’Oceanside (CA).

Côté entraînement, je devrais pouvoir reprendre la natation avec un pull (sans pousser sur le mur) d’ici quelques jours. À part ça, ça va être muscu, abdos et COMPEX.

Y a un trou!

Oups, y a un trou!

Sur le mollet gauche on ne voit plus la jonction des fibres sur l'aponévrose
Sur le mollet droit on ne voit plus la jonction des fibres sur l’aponévrose à 2 endroits

Contrairement au mollet gauche qui est intact

….  contrairement au mollet gauche qui est intact!

 

 

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