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Pierre-Yves Gigou – Triathlète

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Browsing Category Matériel

Tune-Up #2 : Le Positionnement

août 13, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Du bon matos, c’est beau, c’est cool, mais l’important et d’être capable d’y poser un moteur. C’est là qu’intervient Pierre Perron. Après une formation de plusieurs jours à Toronto avec les intructeurs de Retül, j’ai eu la chance d’être son premier « cobaye ».

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Pierre Perron en pleine concentration!

 

Après un premier « fit » sur mon vélo de route dont les résultats ont dépassé toutes mes attentes, j’avais vraiment hâte d’y retourner pour le positionnement sur mon TR1.

La technologie Retül fonctionne grâce à des marqueurs infra-rouge posés sur des points anatomiques précis permettant ainsi de « visualiser » par informatique le déplacement des différents segments. Le système Retül permet ainsi de mesurer en continu au cours du cycle de pédalage les différents angles entre chaque segment (matérialisant hanche, cheville, genou). L’objectif étant qu’en tous temps tous angles soient compris dans une certaine plage d’efficacité prédéfini par l’ordinateur. Évidement, il s’agit d’un travail de longue haleine puisque chaque déplacement de la selle (hauteur, avancement) a de l’influence sur l’ensemble des angles. Un capteur de puissance permet de contrôler l’intensité, et de s’assurer que le positionnement est correct quelle que soit l’intensité de l’effort.

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Placement des marqueurs infra-rouge sur les repères anatomiques

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Le set up

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Le nouveau cadre TR1 permet une grande plage de réglage

Comme je ne suis vraiment pas souple par nature, Pierre décide entre autre de remonter un peu ma potence, et m’explique que cela va sacrifier un peu à l’aérodynamisme pour un gain de puissance. Et effectivement, je me sens merveilleusement bien sur ma selle. Un peu sceptique quant à la performance finale en situation de compétition, il me faudra seulement attendre la fin de la semaine pour claquer un 4h11 (3e temps vélo de la journée) sur le parcours du 70.3 de Mont-Tremblant et ainsi avoir ma réponse : positionnement réussi! Merci Pierre!

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Le placement des bras a un impact important sur l’aérodynamisme, ainsi que sur le « coup de pédale ». Tout est alors une question de compromis pour trouver la position la plus rapide.

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Le produit final

 

Tune-Up #1: le matériel de vélo

août 13, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Certains disent que je vieillis, toujours est-il que cette année, le corps ne répondait pas aussi bien aux sollicitations de l’entraînement qu’auparavant : blessures, fatigue, infections…

Bref, en cette veille d’ironman Mont-Tremblant, plutôt que de vous sortir des stats d’entraînement très ordinaires, ou encore de vous expliquer la logique inexistante d’un entraînement planifié au jour le jour en fonction des ressentis, je vais vous parler des petits détails que j’ai paufiné afin de grapiller quelques secondes au chrono et me permettre d’espérer obtenir des résultats proches de ceux de ces dernières années (9h06 en 2012, 9h11 en 2013).

Évidemment, le matériel jouant un rôle prépondérant sur la performance en cyclisme, c’est par ce point que je commence.

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Le cadre : Après 4 ans de bourlingage à travers les continents, le Gennix T1 (Louis Garneau) commençait à se faire vieillissant et à pénaliser ma performance par rapport à d’autres vélos à la fine pointe de la technologie. C’est donc avec enthousiasme que j’ai accueilli l’arrivée du Gennix TR1, un vélo dessiné pour être aussi, sinon plus aérodynamique que des vélos tel que le P5, du moins gagnant sur la légèreté et la rigidité par rapport au T1. Ayant eu la chance de le tester à Kona l’an passé, je l’ai tout de suite adopté. Et je ne m’étais pas trompé puisqu’il m’a permis de battre mon record sur 180km (4h42).

Les roues : M’étant séparé de ma roue pleine Zipp Sub9 que je ne trouvais pas assez rigide à mon goût, je roulerai à Tremblant sur une paire de Corima. L’ensemble Paraculaire à l’arrière (985g) + UP’S  à l’avant (560g) me permet avant tout de gagner en légèreté. Le gain de poids se fait ressentir dans les côtes, mais aussi dans les relances car l’inertie de ses roues est étonnement faible! La rigidité de ses roues est également exemplaire. Apparemment, elles ont bien réussi à Nibali sur le Tour ; ) et en plus, elles sont conçues en France. Et le plus incroyable dans tout ça, c’est que je n’ai jamais eu une qualité de freinage aussi bonne sur une roue en carbone qu’avec les patins de freins Corima (bon ok, en triathlon, on freine pas). Bref, à peine essayées et déjà adoptées.

Le dérailleur : Assez réticent au début, j’avoue que le passage à l’électronique sur un vélo de contre-la-montre est un avantage certain sur un parcours aussi « casse-pâte » que Mont-tremblant. Dans les côtes du Chemin Duplessis, pouvoir changer de développement tout en étant debout sur les pédales est un luxe particulièrement appréciable. En « cassant » moins de fibre sur des gros braquets, c’est non seulement un gain de temps certain à vélo, mais aussi un gain de temps en course à pied.

Le pédalier : Premièrement, pour un meilleur passage des points morts en position aéro, mon pédalier est muni de manivelles de 170mm. Le deuxième changement consiste dans l’utilisation d’un 52×36 au lieu du traditionnel 53×39. Pour une vitesse moyenne de 37km/h sur Ironman, sur le plat cela me permet d’utiliser des pignons situés au milieu de la cassette (13-14-15) et donc de ne pas croiser ma chaîne. Dans les descentes le 52×11 est largement suffisant, puisqu’au delà d’une certaine vitesse une position aérodynamique est beaucoup plus rapide. Et dans les côtes, pas besoin de sortir de sa zone de confort ou d’être tenté de pousser de trop gros développements : le 36 permet de grimper aux arbres!

Pour les curieux, des boyaux Continental TT Podium II, des pédales Look Blade II, un guidon 3T avec accoudoir zipp et une potence giant carbon complètent le tout.

À suivre dans le Tune Up #2 : Le positionnement

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