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Pierre-Yves Gigou – Triathlète

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Browsing Category Voyages

Triathlon de l’Alpe d’Huez

août 8, 2015 · by Pierre-Yves Gigou

Après avoir achevé la première partie de mon programme de compétition (Challenge Quassy–70.3 Mont-Tremblant– Challenge St-Andrews) sur une fausse note, une rapide analyse m’a appris que j’avais besoin de repos.  Alors que je cherchais à optimiser chaque petit détail de ma préparation, ma quête de performance au cours des derniers mois avait viré à l’obsession!  Et ce stress physique et psychologique permanent avait fini par nuire à mon entraînement.

Mon voyage en France était donc l’occasion parfaite de décrocher et d’oublier la déprime post St-Andrews! Le plan était de passer une première semaine chez mes parents à l’occasion du mariage de ma cousine puis de passer 2 semaines dans les Alpes.

Ma première semaine d’entraînement dans le Loir-et-Cher (41) fut laborieuse dans tout les sens du terme, avec même parfois de gros passages à vide lors de certains entraînements. Mais j’ai gardé mon calme et j’ai persévéré pour finalement retrouver de meilleures sensations à mon arrivée dans les Alpes. Le plan était alors de m’entraîner le plus possible la première semaine, puis de me reposer la 2e semaine avant de participer bon an mal an avec les jambes du jour au triathlon de l’Alpe d’Huez, pour ensuite « peacker » le 16 août lors de l’Ironman de Mont-Tremblant où l’objectif est toujours de faire un podium.

Au fil des jours (et des cols), j’ai vite retrouvé un niveau de forme très intéressant et réalisé un important volume (41h) dont une grande part à une intensité proche ou supérieure à mon intensité sur ironman. J’ai également eu l’agréable surprise de retrouver très rapidement mon « coup de pédale » en montagne grâce à mes plateaux Rotor Qring (oval). En fait, ces plateaux permettent de très bien passer les points morts , me permettant dès les premiers jours en montagne d’adopter une bonne fréquence de pédalage et m’évitant quelques courbatures spécifiques à ce type de terrain.

Un paysage à "couper le souffle" (l'altitude aussi)

Un paysage à « couper le souffle » (l’altitude aussi)

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Le triathlon longue distance de l’Alpe d’Huez n’étant pas un objectif prioritaire, je ne me suis accordé que 3 jours de repos avant cette épreuve que j’avais déjà complétée en 7h22 en 2008. Sur ce parcours extrêmement exigeant, je n’avais aucune idée de la façon dont allait réagir mon corps à l’accumulation de fatigue, et je m’étais donc préparé à vivre une journée de galère. De toute façon, je me doutais que sur la quarantaine d’athlète élite engagés, une bonne moitié serait dans le même cas de figure.

Un parcours "exigeant"

Un parcours « exigeant »

 

Natation : 2500m (2 tours)- environ 33′

Le départ de natation se faisait dans le lac du Verney, au pied de la station de Vaujany. Tel que prévu, le départ de masse est chaotique et la première bouée est l’occasion d’une bonne bousculade. J’arriverai à sortir indemne en passant à l’intérieur. Je décide d’employer la même stratégie pour la 2e bouée : et ça passe! Un rapide coup d’oeil me montre que ma stratégie était la bonne et que j’ai ainsi gagné un temps précieux sans avoir à forcer l’allure. Je m’installe confortablement dans les pieds d’un élite et je ne quitterai pas ce groupe jusqu’à la toute fin du 2e tour.

Départ de masse

Départ de masse! Crédit photo : Thierry Sourbier

Cyclisme : 117km – 3h59 – STRAVA

Je n’ai alors aucune idée de ma position même si j’ai l’impression qu’il ne reste plus beaucoup de vélos dans ma rangée. Par précaution car le temps est incertain, je prends quand même le temps de mettre mes manchettes et de glisser une feuille de « couverture de survie » dans mon tri-suit et je m’élance dans le long faux-plat descendant jusqu’à Séchilienne. Même si elle ne me permet pas de générer autant de puissance que sur mon vélo de TT, ma position sur les aérobarres est extrêmement rapide (et aéro). Ça roule entre 45 et 55km/h!  Comme en France la distance légale pour le drafting est de 7m, je comprends vite qu’il est inutile de faire des efforts à ce moment de la course et je me résigne à rester dans un train jusqu’à la première difficulté du jour : l’Alpe du Grand-Serre (15km à 6,5%). Dès le pied de l’ascension, je décide d’attaquer pour faire le ménage et un 20min à 360w me permet de me retrouver en 6e position de la course. C’est à ce moment là que mes bronches décident de me lâcher et que je commence à faire l’asthme à l’effort. L’altitude n’aidant pas, je me vois contraint de baisser l’allure et je vois un train d’une douzaine de cycliste me dépasser. Ne voulant pas risquer de pénalité, je rétrograde pour me placer en queue de wagon et puis je relance pour basculer avec le groupe. Malheureusement, quelques wagons ayant sauté, cela ne suffira pas et je me retrouverai tout seul pour faire la descente. Ce n’est qu’après un gros effort dans la côte de la Morte que je reviendrai au contact avec le groupe et ré-intégrerai le top 10.

Facile!

Facile! Équipement vélo : cadre Louis Garneau Gennix R1 Dream Factory, groupe Dura-ace mécanique 11v (11-28), pédalier Rotor Flow compact (52-36), guidon Easton Ec70 et aérobars Hed carbon modifiées, roues Corima 72mm (1400g), boyaux Continental Podium TT 22mm à l’avant et Compétition 23mm à l’arrière,  pédales Kéo Power, selle Spécialized Romin.

Un peu avant le début de col d’Ornon, un rapide coup d’oeil m’apprend que mes adversaires sont « collés » et c’est tout naturellement que je me détache du groupe avec 2 autres concurrents au pied du col d’Ornon. Je suis un peu trop pesant pour grimper très vite lorsque la pente dépasse 6%, mais dans du 3-4% je me régale. Même si les jambes sont bonnes je préfère laisser filer mes 2 compères dans les dernières rampes du col d’Ornon afin de me préserver pour la montée finale vers  l’Alpe d’Huez. Je concède alors une bonne minute que je suis assez confiant de pouvoir reprendre lors de la descente. Et effectivement, après une descente à fond de train je les rattraperai dans le tout dernier lacet de la descente sur Bourg d’Oisons, au pied du col de l’Alpe d’Huez. Je me sens bien dès les premiers virages, mais par chance mon capteur de puissance me rappelle à l’ordre car il y en a quand même 21 à aligner…. Après quelques minutes, j’assiste d’ailleurs à une grosse défaillance d’un de mes adversaires, quasiment à l’arrêt (et je dois avouer que moi non plus je ne vais plus très vite). Par prudence, je laisse donc filer l’autre concurrent et je me retrouve complètement seul avec mon compteur de vélo : il reste au moins 45 minutes d’ascension!!! Je suis alors 7e. Et comme dans les 2 précédents col, à partir de 1400m d’altitude, je commence à faiblir. Les derniers km me semblent une éternité et je m’accroche au fait que les watts ne sont somme toute pas si mal. Finalement, c’est seulement arrivé au parc à vélo que je réalise qu’il faut encore courir…

Virage N°2!

Virage N°2! Crédit photo : Thierry Sourbier

Course à pied : 22km (1900m d’altitude) : env. 1h30 – STRAVA

En descendant du vélo, j’ai comme le feeling que ça va être dur… et finalement, même si les  jambes courent un peu carré, elles ne sont pas en si mauvais état. En revanche, dans les premiers 3km de faux-plat montant vers le col de Sarenne, la pompe s’affole : je cours à 4’30 du km et pourtant j’ai l’impression d’être à Vo2Max! Le demi-tour aura au moins le mérite de m’informer que mes adversaires sont dans le même état que moi et que je n’ai que 5 minutes de retard sur la tête de course. Dans la descente, je suis incapable de prendre de la vitesse et je me fais dépasser par l’américain DePhillipis (qui finira en 3e position). Je n’exagère pas en disant que le gars court 2x plus vite que moi! Après 7km, j’ai toujours le souffle court et je me vois mal faire 3 tours comme cela. Quelques crampes et l’arrivée de quelques concurrents revenant de l’arrière ont le mérite de me sortir de ma torpeur : je ne me suis pas tapé 3 cols à vélo pour exploser en course à pied! Étonnamment, à l’entame du dernier tour, je contrôle beaucoup mieux ma respiration et je suis en mesure de relancer l’allure. Je rattrape 1, puis 2 concurrents que je distance facilement. De peur que les crampes reviennent, et parce que je n’aperçois pas de concurrents en avant, je me contreins à mettre le frein. Et voilà que la ligne d’arrivée arrive déjà! Ben zut alors, je me sentais bien pour faire un 4e tour! À n’y rien comprendre!

Avec un temps de 6h06 je m’empare d’une belle 8e place et de la bourse qui va avec (enfin!). Compte tenu du contexte d’entraînement, le temps et la place me satisfont entièrement! Il ne reste plus qu’à surcompenser pour l’Ironman de Mont-Tremblant.

 

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De son côté, Valérie a « cassé la baraque » sur le vélo avec un temps de 4h30! Ce qui lui permet de prendre également la 8e position chez les femmes. Je suis très impressionné par cette performance, d’autant plus qu’elle s’était entraînée plus d’une trentaine d’heures en ma compagnie la semaine précédente!

Le podium masculin

Le podium masculin

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Le podium féminin

 

 

 

 

 

 

 

 

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COZUMEL

avril 12, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Mon collègue entraîneur du club de triathlon des Rapides s’étant malheureusement fracturé une cheville quelque jours avant son camp d’entraînement annuel à Montréal, mon aide a été requise pour assurer un encadrement optimal de ses athlètes. Ce fut pour moi l’occasion de partir dans le sud après cet hiver interminable. Suite à ma déchirure musculaire le 22 février, j’avais été contraint d’annuler ma participation au 70.3 d’Oceanside qui avait lieu fin mars.

 Quant à la déchirure, après une semaine en béquille, j’ai rapidement pu reprendre le cyclisme à basse intensité, puis peu longtemps après,
les intervalles à intensité maximale. La reprise course à pied à suivi assez rapidement, avec des alternances de course/marche pour les deux premières semaines, pour arriver rapidement sur des entraînements continus à basse intensité. Cela faisait longtemps que je n’avais pas passé la fin de l’hiver au Québec, et par chance, les conditions de neige des centres de ski de fond ont été excellentes, ce qui m’a permis de maintenir un volume intéressant. Côté musculation, j’ai pu continuer ma progression sans trop d’entrave.
Bref, ce fut une gestion de blessure optimale, où j’ai vraiment été méticuleux quant au dosage des activités de reprise, si bien que 6 semaines après ma blessure, j’étais en mesure de courir une soixantaine de km hebdomadaire et de reprendre progressivement les intervalles à haute intensité.
Ce qui nous amène à mon arrivée sur l’île de Cozumel au Mexique. Située à quelques kilomètres de Cancun, j’avais déjà eu l’occasion de visiter l’île une dizaine de jours à l’occasion mon 2e Ironman. Tel que dans mes souvenirs, il y fait chaud (voire très chaud!), humide (voire très humide), les routes sont plates (voire très plates!) et le vent peut y être redoutable. Soit des conditions idéales pour préparer le 70.3 Eagleman! Comme dans mes souvenirs, même si le paysage est très monotone, les routes sont belles à couper le souffle!
Ironman de Cozumel, il y a maintenant quelques années!

Ironman de Cozumel, il y a maintenant quelques années!

Les athlètes que j’encadre sont principalement des athlètes du volet « élite » du club de Rapides. Donc pas le temps de flâner sur la plage : les tours d’île s’enfilent les uns après les autres et l’augmentation de la charge d’entraînement en course à pied est optimale. Et quel bonheur de nager dans les eaux couleur turquoise de Cozumel!
Même si les sensations en vélo sont assez mitigées avec un coup de pédale un peu chaotique dans la première semaine, le geste commence à reprendre de la fluidité et les fréquences de pédalage sont en hausse. Le wattage n’a rien d’extraordinaire, mais cela n’a rien d’alarmant pour cette période de l’année.
En course à pied, un 800m couru en 2’25 et un 400m couru en 1’08 semblent indiquer que les voyants sont au vert pour que je puisse commencer à me « rentrer dedans » sur des séances d’intervalles. Par contre le manque de volume en amont se fait cruellement sentir par une fatigue musculaire qui s’installe progressivement au fur et à mesure des séances. D’autre part, comme au mois de janvier, une douleur à l’insertion du semi-membraneux (un des 2 ischios) commence à se faire ressentir. À surveiller!
En eau libre, de façon surprenante, les sensations sont exceptionnellement bonnes. Je mets ça sur le compte du ski de fond et de la muscu car cela fait seulement 3 semaines de j’ai repris la natation.
Pour résumer, ma première semaine avec les Rapides m’a permis de rentrer un peu plus de 28h d’entraînement soit 537km de vélo, 76 km de course à pied, et 11 km de natation.
Punta Sur

Punta Sur

Lieto et sa balle magique

octobre 2, 2013 · by Pierre-Yves Gigou

Cela fait une semaine que je suis sur l’île. J’avais de grandes attentes cette année, et ce fut particulièrement pénible de ne pas être en mesure de m’entraîner adéquatement malgré toutes les ressources investies au cours de l’année (aussi bien financières que humaines). La motivation n’était plus là, remplacée par un stress tel que je n’en avais jamais connu l’approche d’une compétition. Heureusement, j’ai su re-mobiliser mon énergie travailler ma natation, et surtout j’ai revu mes objectifs à la baisse : je veux être un finisher!

Depuis 3 jours, il semble que je vois enfin la lumière au bout du tunnel. Samedi matin, lorsque j’ai expliqué à Chris Lieto que j’avais un syndrome fémoro-patellaire, il a examiné mes quads est à tout de suite vu que j’y avais de nombreuses tensions, notamment au niveau du vaste médiale. Il m’a alors donné une balle de massage et m’a conseillé de me masser 2 fois par jours en exerçant des points de pression d’une vingtaine de secondes aux endroits douloureux. J’y passe au moins 2h par jour! Mais dès le premiers jours j’ai vu que j’étais capable d’allonger mes entraînements de course à pied avant que la douleur n’apparaise. Le lendemain j’ai même pu reprendre le vélo sans douleurs importantes.

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Hier j’ai même réussi à faire 100km à vélo à basse intensité et à enchaîner sur un 15km de course à pied en soirée. Et ce matin, j’ai même eu la délicieuse surprise de me réveiller en ayant mal aux jambes! Bref, je suis de retour, et je commence à être optimiste quand à mes chances de finir la course. Pour le moment je manque clairement de puissance à vélo, mais je suis confiant sur ma capacité à revenir à un niveau acceptable d’ici la prochaine semaine.

Kona Jours 1, 2 et 3

septembre 28, 2013 · by Pierre-Yves Gigou

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À seulement 2 semaines de LA course, j’ai l’impression que la petite ville est déjà envahi par les triathlètes. J’ai vraiment l’impression qu’à chaque année les athlètes arrivent de plus en plus tôt pour s’acclimater.

Comme un bars, c’est un peu toujours les mêmes habitué qu’on y retrouve: toujours aux mêmes places aux mêmes moment! Évidement, on jase triathlon : « comment as été ta saison? » « Es-tu en forme cette année? » « À quelle heure tu vas nager demain? »

Dans la mesure où je suis blessé depuis maintenant 15 jours, cette semaine est vraiment différente de celles des 2 précédentes éditions.

En 2011 je m’étais entraîné environ 28h, avec beaucoup de travail d’endurance, tandis que en 2012 j’avais rentré environ 24h d’entraînement, avec de nombreux entraînements de qualité en vélo (Force, PMA, Seuil Anaérobie, race pace…), le tout dans des conditions extrêmes (chaleur, vent) et avec bien souvent des athlètes de renoms (Marino Vanhoenacker, Chris Lieto, Sebastien Kienle…). Ce fut parmi les moments plus mémorables de ma vie.

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Cette année,  à mon grand désespoir, je n’ai pas encore sortie le vélo, mis à part pour aller nager ou faire l’épicerie, ce qui suffit parfois à réveiller la douleur dans mon genou. Pour la course, je suis également limité à rester en dessous du seuil, qui selon les jours arrive après 30 à 50 minutes. Je dois bien me faire une raison, même si je parviens à compéter la course, dans tous les cas ma performance sera nettement compromise. Du coup j’avoue avoir j’ai perdu la puissante motivation qui m’animait ces dernières années ainsi que l’énergie qui en découlait, et j’avoue également avoir beaucoup moins de plaisir à l’entraînement. Alors tant qu’à être là, j’essaie de me raccrocher à autre chose, et de travailler mes points faibles en prévision de la saison prochaine. Vous l’aurez compris :  je nage!

En piscine ou dans l’océan, ces trois derniers jours j’ai déjà nagé 5 fois. J’adore nager à Kona. Autant l’océan est toujours l’occasion se confronter aux éléments (vagues, courant) et donne parfois l’impression d’être vraiment seul au monde, autant la piscine locale est vraiment chaleureuse et conviviale. Que ce soit dans le bain libre, où avec le club de maître, j’y trouve toujours des amis avec qui discuter et rentrer quelques longueurs.

Parlons en du bain libre : alors que j’y allais en mileu d’après-midi avec mon amie Brooke Brown, voilà que par hazard nous arrivons en même temps que Joanna Lawn et son mari, Alejandro Santamaria, suivi quelques minutes plus tard par le triple champion du monde Ironman Craig Alexander. Le set du jour : 30x 100yards/1:20. Là je me dit « ok, ça va saigner »! J’ai bien tenu les 10 premiers, et puis ça s’est corsé lorsqu’ils ont décidé de faire départ 1:15… Aïe… après 5 j’étais sauté! Ça m’a pris un bon 200m de pause pour m’en remettre et finalement finir le set départ 1:20. Les pros ont fini les 10 derniers départ 1:10, et ils n’avaient vraiment pas l’air de forcer, tandis que moi j’avais les bras complètement explosés!

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