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Pierre-Yves Gigou – Triathlète

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Browsing Tags blessure

KO : déchirure du gastrocnemius

février 24, 2014 · by Pierre-Yves Gigou

Et voilà! Ce qui devait arriver arriva. À force d’ignorer tous les signaux d’alerte qui sont apparus ces derniers mois, à force d’ignorer cette fatigue profonde que je ressens depuis le mois d’août, j’aurais dû me douter que quelque chose allait finir par lâcher.

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C’est au 2/3 du 6km de course à pied du pentathlon des neiges (dont le récit de course suivra sous peu) que la douleur est apparue. Cela ressemblait beaucoup à une crampe. Vous savez, ce genre de crampe dans les mollets qu’ont les débutants lorsqu’ils enchaînent la course à pied après le vélo pour la première fois. Par conséquent, même si j’étais en « beau calvaire » face à cette situation inattendue, j’ai dans un premier temps maintenu l’allure en me disant que ça allait passer, puis devant l’absence de résultat, je me suis arrêté pour étirer le muscle en question. Peine perdu, la douleur n’a fait qu’augmenter et j’ai été contraint de rejoindre la zone de transition en clopinant d’une étrange manière.

Je me dis alors que la crampe va sûrement passer pendant les 9km de ski. Effectivement la douleur s’est estompée, et j’ai été capable d’ajuster ma technique pour éviter de mettre le mollet en tension. En patin ce fut encore mieux, et puis avec mon dos qui faisait des siennes et ma technique légendaire, j’avais suffisement d’autres problèmes à régler.

Là, j’ai commencé à penser que je pourrais faire les 6km de course en raquettes sans problème. Malheureusement, ce ne fut pas le cas car la douleur fut plus vive que jamais lors du 1er km, et j’ai bien failli abandonner à plusieurs reprises. Cela étant, j’avais quand même de bonnes jambes et en haut d’une côte particulièrement pénible à monter, la douleur a fini par s’estomper. J’ai même été en mesure d’accélérer et de sprinter pour m’emparer de la 5e place.

 

Quelques minutes d’arrêt pour discuter avec les amis à l’arrivée, et me voilà incapable de marcher. Je me traîne comme je peux jusqu’à la tente des physios. Rapidement, les physios de PCN prononcent le mot fatidique auquel je me refusais à penser durant toute la course : « déchirure ».

Du coup Valérie a pu exercer ces talents de photographe :  l’échographie confirmera l’étendue des dégâts.

Donc, depuis 2 jours,  je suis coincé à la maison où je me déplace en béquilles ou à cloche-pied. Et je ne pense pas pouvoir recommencer à conduire d’ici 3-4 jours. Selon Valérie, je devrais pouvoir reprendre la course à pied d’ici 6 semaines. Je pense que pour le vélo, ce sera un peu plus rapide.  Bref, on dirait bien qu’il va falloir faire une croix sur le tour du Mont-Valin, sur le triathlon d’hiver de Québec, ainsi que sur le premier triathlon de la saison : le 70.3 d’Oceanside (CA).

Côté entraînement, je devrais pouvoir reprendre la natation avec un pull (sans pousser sur le mur) d’ici quelques jours. À part ça, ça va être muscu, abdos et COMPEX.

Y a un trou!

Oups, y a un trou!

Sur le mollet gauche on ne voit plus la jonction des fibres sur l'aponévrose
Sur le mollet droit on ne voit plus la jonction des fibres sur l’aponévrose à 2 endroits

Contrairement au mollet gauche qui est intact

….  contrairement au mollet gauche qui est intact!

 

 

Lieto et sa balle magique

octobre 2, 2013 · by Pierre-Yves Gigou

Cela fait une semaine que je suis sur l’île. J’avais de grandes attentes cette année, et ce fut particulièrement pénible de ne pas être en mesure de m’entraîner adéquatement malgré toutes les ressources investies au cours de l’année (aussi bien financières que humaines). La motivation n’était plus là, remplacée par un stress tel que je n’en avais jamais connu l’approche d’une compétition. Heureusement, j’ai su re-mobiliser mon énergie travailler ma natation, et surtout j’ai revu mes objectifs à la baisse : je veux être un finisher!

Depuis 3 jours, il semble que je vois enfin la lumière au bout du tunnel. Samedi matin, lorsque j’ai expliqué à Chris Lieto que j’avais un syndrome fémoro-patellaire, il a examiné mes quads est à tout de suite vu que j’y avais de nombreuses tensions, notamment au niveau du vaste médiale. Il m’a alors donné une balle de massage et m’a conseillé de me masser 2 fois par jours en exerçant des points de pression d’une vingtaine de secondes aux endroits douloureux. J’y passe au moins 2h par jour! Mais dès le premiers jours j’ai vu que j’étais capable d’allonger mes entraînements de course à pied avant que la douleur n’apparaise. Le lendemain j’ai même pu reprendre le vélo sans douleurs importantes.

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Hier j’ai même réussi à faire 100km à vélo à basse intensité et à enchaîner sur un 15km de course à pied en soirée. Et ce matin, j’ai même eu la délicieuse surprise de me réveiller en ayant mal aux jambes! Bref, je suis de retour, et je commence à être optimiste quand à mes chances de finir la course. Pour le moment je manque clairement de puissance à vélo, mais je suis confiant sur ma capacité à revenir à un niveau acceptable d’ici la prochaine semaine.

Kona Jours 1, 2 et 3

septembre 28, 2013 · by Pierre-Yves Gigou

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À seulement 2 semaines de LA course, j’ai l’impression que la petite ville est déjà envahi par les triathlètes. J’ai vraiment l’impression qu’à chaque année les athlètes arrivent de plus en plus tôt pour s’acclimater.

Comme un bars, c’est un peu toujours les mêmes habitué qu’on y retrouve: toujours aux mêmes places aux mêmes moment! Évidement, on jase triathlon : « comment as été ta saison? » « Es-tu en forme cette année? » « À quelle heure tu vas nager demain? »

Dans la mesure où je suis blessé depuis maintenant 15 jours, cette semaine est vraiment différente de celles des 2 précédentes éditions.

En 2011 je m’étais entraîné environ 28h, avec beaucoup de travail d’endurance, tandis que en 2012 j’avais rentré environ 24h d’entraînement, avec de nombreux entraînements de qualité en vélo (Force, PMA, Seuil Anaérobie, race pace…), le tout dans des conditions extrêmes (chaleur, vent) et avec bien souvent des athlètes de renoms (Marino Vanhoenacker, Chris Lieto, Sebastien Kienle…). Ce fut parmi les moments plus mémorables de ma vie.

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Cette année,  à mon grand désespoir, je n’ai pas encore sortie le vélo, mis à part pour aller nager ou faire l’épicerie, ce qui suffit parfois à réveiller la douleur dans mon genou. Pour la course, je suis également limité à rester en dessous du seuil, qui selon les jours arrive après 30 à 50 minutes. Je dois bien me faire une raison, même si je parviens à compéter la course, dans tous les cas ma performance sera nettement compromise. Du coup j’avoue avoir j’ai perdu la puissante motivation qui m’animait ces dernières années ainsi que l’énergie qui en découlait, et j’avoue également avoir beaucoup moins de plaisir à l’entraînement. Alors tant qu’à être là, j’essaie de me raccrocher à autre chose, et de travailler mes points faibles en prévision de la saison prochaine. Vous l’aurez compris :  je nage!

En piscine ou dans l’océan, ces trois derniers jours j’ai déjà nagé 5 fois. J’adore nager à Kona. Autant l’océan est toujours l’occasion se confronter aux éléments (vagues, courant) et donne parfois l’impression d’être vraiment seul au monde, autant la piscine locale est vraiment chaleureuse et conviviale. Que ce soit dans le bain libre, où avec le club de maître, j’y trouve toujours des amis avec qui discuter et rentrer quelques longueurs.

Parlons en du bain libre : alors que j’y allais en mileu d’après-midi avec mon amie Brooke Brown, voilà que par hazard nous arrivons en même temps que Joanna Lawn et son mari, Alejandro Santamaria, suivi quelques minutes plus tard par le triple champion du monde Ironman Craig Alexander. Le set du jour : 30x 100yards/1:20. Là je me dit « ok, ça va saigner »! J’ai bien tenu les 10 premiers, et puis ça s’est corsé lorsqu’ils ont décidé de faire départ 1:15… Aïe… après 5 j’étais sauté! Ça m’a pris un bon 200m de pause pour m’en remettre et finalement finir le set départ 1:20. Les pros ont fini les 10 derniers départ 1:10, et ils n’avaient vraiment pas l’air de forcer, tandis que moi j’avais les bras complètement explosés!

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